Observatoires

Scorpius-Gemini

Le montage du télescope, la mise en station, le réglage des capteurs sont autant d’étapes qui peuvent décourager les passionnés, à fortiori lorsqu’il fait moins de 15° dehors et que l’on a plus de 40 ans (= âge moyen de référence de renoncement aux nuits en camping).

Lorsque l’on a l’espace et la possibilité, avoir son propre observatoire permet de s’affranchir de ces étapes et d’observer et imager avec une tablette ou un pc, bien au chaud depuis la maison à côté ou à 10000 km de là.

10 min suffisent pour ouvrir l’observatoire, activer les setup, refroidir la caméra et lancer une acquisition. Dés lors même une éclaircie d’1h est propice à shooter.

La technologie permet même de planifier et d’automatiser les acquisitions, de l’ouverture jusqu’à la fermeture du toit, tout en appréhendant la complexité des imprévus nocturnes (nuages, obstacles, perte de réseau, ovnis ou rencontre de 3 types). Ainsi on peut faire dodo paisiblement.


Scorpius Gemini utilise 2 observatoires en poste fixe, nommés StarGate car nous sommes des rêveurs. Un observatoire SG1 en région parisienne abritant un setup et un observatoire SG2 situé en Eure et loir accueillant 2 setup. Le choix de s’implanter sur ces sites a été dicté par le fait déterminant de ne pas avoir 300 nuits étoilées par an et ainsi de ne pas devenir esclave de cette passion dévorante. La possibilité d’accéder facilement est aussi un critère important.

Observatoire StarGate1 dans le désert de « Parigodie » : tout l’abri coulisse vers l’arrière.

Observatoire SG1 ouvert

Observatoire SG2 sur le plateau de l’ « AntiaCama » : le toit coulisse sur les chevrons.

SG2 galerie 1